Virtual Factory Europe : la direction rassure sur l’avenir de l’activité

Cette activité de négoce “Virtual Factory Europe” est répartie entre Angoulême et Grenoble. Récemment, trois salariés ont quitté le service avec la GPEC, et quatre autres se trouvaient en arrêt maladie, alors que la charge de travail avait augmenté significativement. Alertée par les salariés, la Cfdt a demandé au CSE de Grenoble, les moyens à court terme mis en place par la direction pour faire face à la situation, et plus largement, les perspectives pour cette activité.

La direction s’est montrée rassurante : tous les départs dans ce service seront remplacés (ce qui est donc mieux que l’accord GPEC); les personnes en arrêt maladie sont également remplacées par des intérimaires.  La hausse de charge sur ce premier semestre était temporaire, on revient à un régime normal, avec la perspective d’un poste supplémentaire lié à un accroissement de périmètre.

 

La Cfdt compte sur vous pour nous alerter si la situation n’était pas à la hauteur de ces promesses.

N’hésitez pas à solliciter vos élus Cfdt si vous constatez des situations similaires dans vos services. Notre rôle au sein du CSE est de vous soutenir, notamment en soulignant des charges de travail inappropriées.

Pour information : une évaluation des risques psycho-sociaux de VFE a été faite sur Angoulême, et montrait une hausse du risque. Pour l’équipe grenobloise, la même évaluation n’a pas pu être conduite, du fait d’un effectif insuffisant. C’est l’inconvénient de la nouvelle méthodologie d’enquête numérique, déployée sur Grenoble : elle implique la réorganisation des “unités de travail” avec des effectifs revus à la hausse. Il n’est aujourd’hui plus possible de focaliser sur la situation particulière d’une petite équipe, qui se trouve “noyée” dans un ensemble plus grand. Charge à nous donc, de faire remonter les situations tendues.