Imaginez un instant que la journée de solidarité soit un personnage de film. Voici comment on pourrait la décrire
Nom : Journée de Solidarité
Profession : Jour férié en quête de sens
Mission : Récolter des heures de travail non rémunérées pour financer des actions en faveur des personnes âgées ou handicapées
Super Pouvoir : Faire disparaître les congés payés plus vite que l’on ne peut dire “lundi de Pentecôte”
Faiblesse : Être ignorée par la plupart des gens jusqu’à ce qu’elle pointe le bout de son nez dans le calendrier
Citation préférée : “Je suis là pour la solidarité, pas pour la popularité !”
Et chez Schneider, comme chaque année, ce jour-là (le 20 mai), les salariés pourront soit travailler avec un temps de travail réduit à 7h (à proratiser si on est en temps partiel), soit poser un CP (ou à défaut, un RTT pour les cadres forfait jours), ou encore poser un jour de grève…