Dans ce contexte de télétravail généralisé, beaucoup de salariés Schneider se sentent isolés, livrés à eux-mêmes, sans possibilité de s’appuyer sur un collectif de travail.
Les récents déménagements de nombreux collègues vers IntenCity et AlpXpole accentuent cette perte de repères et de collectif.
Le manque de suivi des collaborateurs par certains managers, où délégation rime avec abandon aggrave encore la situation.
Le management intermédiaire a plus de mal à se positionner et se trouve aussi en difficulté par rapport à des injonctions contradictoires. Les managers ont aussi des difficultés car on leur assigne des objectifs très ambitieux tout en leur enlevant des ressources, en délocalisant une partie de leur équipe…
Le Top management se doit d’apporter son appui aux managers intermédiaires qui doivent être formés à ce nouveau mode de management en distanciel.
Face à cette perte de collectif, pour parvenir à travailler sereinement, chaque salarié, qu’il soit cadre, technicien, ouvrier peut s’appuyer sur la Cfdt pour retrouver un collectif, un réseau de personnes solidaires sur qui compter.