Lors de la dernière réunion de la CSSCT tertiaire sur IntenCity, la problématique a été remise à l’ordre du jour par la Cfdt.
La direction a évoqué des pistes d’amélioration pour la sécurisation de ce parking mais reste assez floue et refuse notamment l’option d’obstruction visuelle depuis le chemin de halage de l’Isère.
Les grooms des portes à badger ne sont pas fiables, par fort vent ils ne se referment pas.
Les grilles le long de la rampe d’accès laissent un espace aisément franchissable.
Le débat concernant une éventuelle prise en charge en cas de vol tourne toujours court avec un renvoi systématique au règlement intérieur qui, d’après la direction, la dédouane de toute responsabilité.
En réalité, la position de Schneider n’est pas si inattaquable, d’après les avocats de la Cfdt une action en justice serait très certainement couronnée de succès pour un salarié victime d’un préjudice matériel.
Que ferait Schneider si un client était victime du vol de son vélo dans ce parking…. ? Nul doute qu’une solution serait vite trouvée !
La promotion des modes de transport doux gagnerait encore en légitimité si la direction infléchissait sa position en combinant une réelle sécurisation du parking avec une prise en charge des éventuels préjudices subis par les salariés qui jouent le jeu de la mobilité douce.