La Cdft avait inscrit dans ses revendications NAO 2020 et 2021, la mise en application du forfait mobilité durable (sous forme de prime).
Cette prime à négocier pourrait inciter les salariés à se déplacer autrement (quand ils le peuvent !). Cette prime doit aussi faciliter le développement de la mobilité douce au sein de notre entreprise. Entreprise qui se veut « éco responsable ». Problème, Schneider est en retard sur ce sujet, car d’autres entreprises du bassin grenoblois ont déjà fait le pas en proposant cette prime à leurs salariés.
Bien dommage, car Schneider est toujours bien placé dans les statistiques de la mobilité douce (leader dans les entreprises de 500 à 1000 salariés au challenge mobilité de la région et top 5 dans les entreprises de plus de 1000). De plus, nos structures sur les sites tertiaires en cours d’évolution (pour les vélos électriques et trottinettes de plus en plus nombreuses) font parties des modèles du département selon la Métropole via le SMMAG (Syndicat Mixte des Mobilités de l’Agglomération Grenobloise).
La Cfdt attend d’être convoquée au plus vite pour cette négociation qui sera intégrée à l’accord QVT (Qualité de Vie au Travail).
« Mr les dirigeants, les élus Cfdt sont prêts pour cette négociation, alors accélérons… »
————————————————
Le forfait mobilité durable : c’est quoi ?
C’est une prise en charge par l’employeur des frais de transports personnels du salarié dit « mobilité douce » ou « alternatifs » pour se rendre sur son lieu de travail.
Il regroupe les moyens de transports suivants :
- Utilisation d’un vélo personnel (électrique ou pas)
- Covoiturage en tant que conducteur ou passager
- Services de mobilité partagée (autopartage)
Ce forfait remplace l’indemnité kilométrique vélo : Avantage par rapport à cet ancien système, le salarié n’aura plus à justifier le nombre de kilomètres parcourus pour bénéficier du forfait employeur.