Réchauffement climatique, engorgement des villes, économie en crise… Autant d’arguments qui font que le vélo, hier perçu comme un mode de transport obsolète, a fait sa réapparition dans notre paysage urbain.
Les pratiques évoluent, la loi aussi mais, pas Schneider, qui interdit l’usage du vélo dans les déplacements intersites.
L’objectif : s’exonérer de toute responsabilité en cas d’accident, car le déplacement serait alors considéré comme accident de travail, avec des conséquences financières importantes pour l’entreprise.
Engagement pour le développement durable versus coûts liés à l’accidentologie : le choix de Schneider est clair.
Vous vous êtes exprimés sur le sujet, par des posts sur les réseaux sociaux internes. La Cfdt s’est fait votre relais en montant au créneau, à maintes reprises, en CSE pour faire entendre votre voix.
Malheureusement, la Direction semble inflexible sur le sujet.
La Cfdt continuera néanmoins à demander une meilleure prise en compte de vos attentes. Ceci a déjà été le cas avec de nouvelles possibilités de remboursements négociées dans le cadre du « Forfait Mobilité Durable » de l’accord Qualité de Vie et Conditions de Travail