Schneider prône la prise de risque et le “customer first” au travers des formations “Essentials” ; mais cette attention au client peut vous amener à flirter avec la faute professionnelle. Où se trouve la limite ? Comment agir face à un dilemme entre le souhait de satisfaire le client et sa conscience professionnelle, tout en respectant les règles de l’entreprise ?
Si vous vous trouvez dans une telle situation, nous vous conseillons de ne pas agir et décider seul, mais d’échanger auprès de vos collègues et de votre hiérarchie avant de trancher. N’hésitez pas également à solliciter vos représentants Cfdt qui pourront aider à recontextualiser la situation avec leurs interlocuteurs de la direction.
Un rappel pour les salariés : les outils mis à disposition par Schneider (Téléphone, PC) sont susceptibles d’être analysés de fond en comble lorsque la gouvernance se saisit d’une enquête pour fraude au sein de Schneider Electric.
Néanmoins, l’utilisation des données professionnelles par Schneider est-elle sans limites?
Par exemple l’écoute des enregistrements des conversations des conseillers du Centre Contact Client est soumise à l’accord du salarié (garantie donnée par la direction plusieurs fois en CSE).
Que se passe-t-il dans un contexte d’enquête de la gouvernance ?