Depuis quelques années sur Grenoble, des salariés quittent l’entreprise dans des conditions privilégiées (rupture, GPEC, …), pour la réintégrer immédiatement en tant que prestataires, sur plusieurs années. Cela suscite questionnement et réflexions chez nombre de salariés :
- Combien on les paie ?
- Pourquoi Schneider n’a pas organisé le biseau pour le transfert de compétence si poste similaire ?
- Ils ne pourraient pas laisser la place aux jeunes ?
- Et la déontologie mise en avant par Schneider ?
- Tant mieux pour eux, ils ont raison d’en profiter…
- Ils ont le beurre, l’argent du beurre et ….
Ces exemples ressemblent souvent à des petits arrangements entre amis et renforcent le sentiment que les beaux discours de moralité et de gestion socialement responsable ne sont qu’une façade.
La Cfdt interpellera la direction sur cette pratique.